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Le patriotisme économique a-t-il un sens aujourd'hui ? / Christian de BOISSIEU
Titre : Le patriotisme économique a-t-il un sens aujourd'hui ? Titre original : ou la mondialisation en question Type de document : texte imprimé Auteurs : Christian de BOISSIEU, Auteur ; Dominique CHESNEAU, Auteur ; Jean-Claude TRICHET, Préfacier, etc. Editeur : Maxima-Laurent du Mesnil Éditeur Année de publication : 2020 Importance : 223 pages Format : Broché ISBN/ISSN/EAN : 978-2-8188-0963-1 Langues : Français (fre) Catégories : Droit bancaire et financier
Droit économique, droit du marché
Droit international économiqueMots-clés : patriotisme économique mondialisation protectionnisme globalisation souveraineté économique guerre des monnaies repli national normes réglementaires production nationale multipolarités politiques industrielles Index. décimale : 337.090 52 : Économie internationale - 2020-2029 Résumé :
La remise en cause du libéralisme économique et du multilatéralisme avait commencé bien avant la crise de la Covid-19. Un début de fragmentation de l'économie mondiale, certains diraient de "démondialisation", est apparu avec la guerre commerciale à épisodes multiples entre les Etats-Unis et la Chine, l'essor d'initiatives protectionnistes, la "guerre des changes", le Brexit...Toutes ces tendances, antérieures à 2020, ont été et sont encore aujourd'hui accentuées par la crise sanitaire. L'objet de ce livre, qui rassemble des auteurs venant d'horizons différents, est de prendre la mesure des processus en cours dans presque tous les pays : retour des frontières, désir des Etats de recouvrer un peu plus de souveraineté, volonté des opinions publiques de mieux contrôler le destin collectif. Le retour des stratégies industrielles, les volontés de relocalisation de certaines filières et de réindustrialisation sont au coeur des politiques publiques qui, face aux dégâts économiques et sociaux de la Covid-19, après avoir cherché à limiter ces dégâts, financent des relances massives en s'efforçant de marier économie et écologie. Quel est le bon niveau de conception et de mise en oeuvre : l'échelon national ou l'échelle européenne ? Faut-il espérer des progrès dans la gouvernance mondiale dans un monde qui, malgré tout, va rester pour l'essentiel globalisé ?
De la mondialisation au patriotisme économique : régression ou juste retour des choses ? La mondialisation heureuse a vécu. Les études montrent qu'elle a favorisé le développement d'une classe moyenne dans les pays émergents et l'appauvrissement de la classe moyenne inférieure des pays développés. Aussi a-t-on observé l'apparition de gouvernements populistes dans le monde occidental, dont l'un des credo est de privilégier une production et une consommations "nationales". Dans le même temps les succès économiques de la Chine questionnent la pérennité du lien entre capitalisme et libéralisme. Autour de cette problématique complexe, l'ouvrage regroupe une dizaine de contributions de spécialistes qui proposent des approches relevant de plusieurs dimensions (histoire, géographie, économie, sociologie, politique).
Le patriotisme économique a-t-il un sens aujourd'hui ? = ou la mondialisation en question [texte imprimé] / Christian de BOISSIEU, Auteur ; Dominique CHESNEAU, Auteur ; Jean-Claude TRICHET, Préfacier, etc. . - Maxima-Laurent du Mesnil Éditeur, 2020 . - 223 pages ; Broché.
ISBN : 978-2-8188-0963-1
Langues : Français (fre)
Catégories : Droit bancaire et financier
Droit économique, droit du marché
Droit international économiqueMots-clés : patriotisme économique mondialisation protectionnisme globalisation souveraineté économique guerre des monnaies repli national normes réglementaires production nationale multipolarités politiques industrielles Index. décimale : 337.090 52 : Économie internationale - 2020-2029 Résumé :
La remise en cause du libéralisme économique et du multilatéralisme avait commencé bien avant la crise de la Covid-19. Un début de fragmentation de l'économie mondiale, certains diraient de "démondialisation", est apparu avec la guerre commerciale à épisodes multiples entre les Etats-Unis et la Chine, l'essor d'initiatives protectionnistes, la "guerre des changes", le Brexit...Toutes ces tendances, antérieures à 2020, ont été et sont encore aujourd'hui accentuées par la crise sanitaire. L'objet de ce livre, qui rassemble des auteurs venant d'horizons différents, est de prendre la mesure des processus en cours dans presque tous les pays : retour des frontières, désir des Etats de recouvrer un peu plus de souveraineté, volonté des opinions publiques de mieux contrôler le destin collectif. Le retour des stratégies industrielles, les volontés de relocalisation de certaines filières et de réindustrialisation sont au coeur des politiques publiques qui, face aux dégâts économiques et sociaux de la Covid-19, après avoir cherché à limiter ces dégâts, financent des relances massives en s'efforçant de marier économie et écologie. Quel est le bon niveau de conception et de mise en oeuvre : l'échelon national ou l'échelle européenne ? Faut-il espérer des progrès dans la gouvernance mondiale dans un monde qui, malgré tout, va rester pour l'essentiel globalisé ?
De la mondialisation au patriotisme économique : régression ou juste retour des choses ? La mondialisation heureuse a vécu. Les études montrent qu'elle a favorisé le développement d'une classe moyenne dans les pays émergents et l'appauvrissement de la classe moyenne inférieure des pays développés. Aussi a-t-on observé l'apparition de gouvernements populistes dans le monde occidental, dont l'un des credo est de privilégier une production et une consommations "nationales". Dans le même temps les succès économiques de la Chine questionnent la pérennité du lien entre capitalisme et libéralisme. Autour de cette problématique complexe, l'ouvrage regroupe une dizaine de contributions de spécialistes qui proposent des approches relevant de plusieurs dimensions (histoire, géographie, économie, sociologie, politique).
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 2585 VI 2020 BOI Livre CREDIMI 301 VI - Droit international économique (mondialisation, OMC, pays émergents Disponible Pour rentabiliser l'exportation / Michel BECK
Titre : Pour rentabiliser l'exportation Titre original : Probleèmes Et Moyens De Paiement, Assurance Et Financement, Négociation Et Rédaction Des Contrats, Gestion Et Organisation. Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel BECK, Auteur Editeur : Éditions Hommes et techniques Année de publication : 1973 Importance : 269 pages Langues : Français (fre) Catégories : Droit bancaire et financier
Droit des contrats spéciaux
Droit du commerce, droit du commerce internationalMots-clés : exportation moyens de paiement assurance financement négociation contrat Index. décimale : 000 - pas d'indexation décimale connue Pour rentabiliser l'exportation = Probleèmes Et Moyens De Paiement, Assurance Et Financement, Négociation Et Rédaction Des Contrats, Gestion Et Organisation. [texte imprimé] / Michel BECK, Auteur . - Éditions Hommes et techniques, 1973 . - 269 pages.
Langues : Français (fre)Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0790 V 1973 BEC Livre CREDIMI 301 V - Droit du commerce (interne et étranger), droit du commerce international Disponible La pratique des garanties bancaires dans les contrats internationaux / Joanne KLEIN-CORNEDE
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 2055 V 1999 KLE Livre CREDIMI 301 V - Droit du commerce (interne et étranger), droit du commerce international Disponible La preuve devant l'Autorité des marchés financiers / IDA Nicolas
Titre : La preuve devant l'Autorité des marchés financiers Type de document : texte imprimé Auteurs : IDA Nicolas, Auteur Editeur : Dalloz Année de publication : 2022 Importance : 650 pages Présentation : 16,2 x 23,9 x 3,7 cm Format : Broché ISBN/ISSN/EAN : 978-2-247-21485-3 Langues : Français (fre) Catégories : Droit bancaire et financier Mots-clés : droit bancaire et financier preuve autorité des marchés financiers thèse enquête Résumé : Concilier les impératifs defficacité et de légitimité de la répression financière Peut-on servir deux maîtres à la fois ? Cette question biblique est portée à sa cime lorsqu'elle est appliquée au droit, toujours tiraillé entre deux buts antagonistes. Tout comme le droit des contrats s'épuise à faire la synthèse de la liberté et de la solidarité, et le droit des sociétés celle de la collectivité et de l'individu, le droit de la preuve en matière financière doit, comme Monsieur Nicolas Ida l'observe à l'orée de son travail doctoral, " concilier les impératifs d'efficacité et de légitimité de la répression financière ".
[... ] C'est cette recherche du " point d'équilibre " qui se présente comme l'horizon de la réflexion de l'auteur. Le plan de thèse de Monsieur Nicolas Ida révèle avec finesse la dualité de la preuve au travers des deux temps de la procédure devant l'AMF. Au cours de cette procédure, la preuve est successivement envisagée comme une opération matérielle, puis comme une opération intellectuelle, selon que l'on se situe au stade des investigations préalables à la notification de griefs ou au stade du jugement devant la Commission des sanctions de l'AMF.
La phase préliminaire de constitution du dossier probatoire est marquée par le renforcement constant des garanties procédurales au bénéfice des personnes visées par les investigations conduites par l'AMF. Ce constat dressé par l'auteur vient en balance de l'essor des pouvoirs de l'AMF - droit de communication de tous documents, d'accès aux locaux professionnels, de procéder à des infiltrations numériques, de perquisition menée par les enquêteurs, etc.
- qui ne pouvait qu'appeler des contreforts. [... ] Le second temps de l'étude se déprend des preuves matérielles pour se porter sur le raisonnement à partir des preuves ainsi réunies qu'est conduit à tenir la Commission des sanctions de l'AMF. Ce parti pris est en lui-même un apport de la thèse. Le raisonnement probatoire est en effet la boîte noire du droit de la preuve, lequel demeure trop souvent concentré sur les preuves matérielles et leur mode d'administration et d'admissibilité.
[... ] Finalement, [... ] les ambitions de la thèse de Monsieur Nicolas Ida conjuguent harmonieusement suggestions spécifiques d'amélioration de la procédure devant l'AMF et propositions plus globales d'évolution du droit de la preuve en général. Le droit financier se révèle ainsi comme un point d'observation privilégié du droit de la preuve tant il exacerbe les difficultés habituelles que rencontre ce dernier, et oblige donc davantage qu'ailleurs encore, à les transcender.
Le droit financier est un droit téléologique, animé par le souci du bon fonctionnement des marchés financiers. Cet objectif ne peut être atteint si les agissements répréhensibles ne font pas l'objet d'une répression efficace. Or les opérations d'initiés, les manipulations de cours ou encore les actions de concert non déclarées constituent des comportements occultes, particulièrement difficiles à débusquer et à établir en raison de l'opacité naturelle des marchés financiers.
Le droit de la preuve a dû être adapté pour que l'Autorité des marchés financiers puisse remplir sa mission répressive. Ainsi, en l'absence de preuves directes, des faisceaux d'indices sont pris en compte et des présomptions de culpabilité sont mobilisées, quitte à malmener quelque peu la présomption d'innocence. L'utilisation fréquente de présomptions n'a pas pour autant fait perdre de son intérêt au recueil de preuves matérielles.
Cependant, si l'efficacité des investigations financières justifie certaines entorses aux droits fondamentaux, il convient que l'Autorité ne dépasse pas les limites imposées par ces normes supérieures qui s'imposent à elle. Le souci de protection des marchés financiers est un objectif secondaire par rapport au respect de principes juridiques essentiels dans une société démocratique dominée par l'Etat de droit.
Derrière les règles de preuve applicables aux procédures de sanction de l'Autorité des marchés financiers se profilent des valeurs démocratiques très précieuses pour la société. Aussi, sans méconnaître sa finalité première, le droit financier se doit de respecter ces valeurs afin de concilier les impératifs d'efficacité et de légitimité de la répression financièreLa preuve devant l'Autorité des marchés financiers [texte imprimé] / IDA Nicolas, Auteur . - Dalloz, 2022 . - 650 pages : 16,2 x 23,9 x 3,7 cm ; Broché.
ISBN : 978-2-247-21485-3
Langues : Français (fre)
Catégories : Droit bancaire et financier Mots-clés : droit bancaire et financier preuve autorité des marchés financiers thèse enquête Résumé : Concilier les impératifs defficacité et de légitimité de la répression financière Peut-on servir deux maîtres à la fois ? Cette question biblique est portée à sa cime lorsqu'elle est appliquée au droit, toujours tiraillé entre deux buts antagonistes. Tout comme le droit des contrats s'épuise à faire la synthèse de la liberté et de la solidarité, et le droit des sociétés celle de la collectivité et de l'individu, le droit de la preuve en matière financière doit, comme Monsieur Nicolas Ida l'observe à l'orée de son travail doctoral, " concilier les impératifs d'efficacité et de légitimité de la répression financière ".
[... ] C'est cette recherche du " point d'équilibre " qui se présente comme l'horizon de la réflexion de l'auteur. Le plan de thèse de Monsieur Nicolas Ida révèle avec finesse la dualité de la preuve au travers des deux temps de la procédure devant l'AMF. Au cours de cette procédure, la preuve est successivement envisagée comme une opération matérielle, puis comme une opération intellectuelle, selon que l'on se situe au stade des investigations préalables à la notification de griefs ou au stade du jugement devant la Commission des sanctions de l'AMF.
La phase préliminaire de constitution du dossier probatoire est marquée par le renforcement constant des garanties procédurales au bénéfice des personnes visées par les investigations conduites par l'AMF. Ce constat dressé par l'auteur vient en balance de l'essor des pouvoirs de l'AMF - droit de communication de tous documents, d'accès aux locaux professionnels, de procéder à des infiltrations numériques, de perquisition menée par les enquêteurs, etc.
- qui ne pouvait qu'appeler des contreforts. [... ] Le second temps de l'étude se déprend des preuves matérielles pour se porter sur le raisonnement à partir des preuves ainsi réunies qu'est conduit à tenir la Commission des sanctions de l'AMF. Ce parti pris est en lui-même un apport de la thèse. Le raisonnement probatoire est en effet la boîte noire du droit de la preuve, lequel demeure trop souvent concentré sur les preuves matérielles et leur mode d'administration et d'admissibilité.
[... ] Finalement, [... ] les ambitions de la thèse de Monsieur Nicolas Ida conjuguent harmonieusement suggestions spécifiques d'amélioration de la procédure devant l'AMF et propositions plus globales d'évolution du droit de la preuve en général. Le droit financier se révèle ainsi comme un point d'observation privilégié du droit de la preuve tant il exacerbe les difficultés habituelles que rencontre ce dernier, et oblige donc davantage qu'ailleurs encore, à les transcender.
Le droit financier est un droit téléologique, animé par le souci du bon fonctionnement des marchés financiers. Cet objectif ne peut être atteint si les agissements répréhensibles ne font pas l'objet d'une répression efficace. Or les opérations d'initiés, les manipulations de cours ou encore les actions de concert non déclarées constituent des comportements occultes, particulièrement difficiles à débusquer et à établir en raison de l'opacité naturelle des marchés financiers.
Le droit de la preuve a dû être adapté pour que l'Autorité des marchés financiers puisse remplir sa mission répressive. Ainsi, en l'absence de preuves directes, des faisceaux d'indices sont pris en compte et des présomptions de culpabilité sont mobilisées, quitte à malmener quelque peu la présomption d'innocence. L'utilisation fréquente de présomptions n'a pas pour autant fait perdre de son intérêt au recueil de preuves matérielles.
Cependant, si l'efficacité des investigations financières justifie certaines entorses aux droits fondamentaux, il convient que l'Autorité ne dépasse pas les limites imposées par ces normes supérieures qui s'imposent à elle. Le souci de protection des marchés financiers est un objectif secondaire par rapport au respect de principes juridiques essentiels dans une société démocratique dominée par l'Etat de droit.
Derrière les règles de preuve applicables aux procédures de sanction de l'Autorité des marchés financiers se profilent des valeurs démocratiques très précieuses pour la société. Aussi, sans méconnaître sa finalité première, le droit financier se doit de respecter ces valeurs afin de concilier les impératifs d'efficacité et de légitimité de la répression financièreRéservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 2443 XI 2022 IDA Livre CREDIMI 301 XI - Droit bancaire et financier Sorti jusqu'au 20/11/2023 À quoi sert la Banque centrale européenne ? / Edwin LE HÉRON
Titre : À quoi sert la Banque centrale européenne ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Edwin LE HÉRON, Auteur Editeur : La Documentation Française Année de publication : 2016 Collection : Réflexe Europe Importance : 216 pages Format : Broché ISBN/ISSN/EAN : 978-2-11-010303-1 Langues : Français (fre) Catégories : Droit bancaire et financier Mots-clés : droit bancaire droit financier banque centrale européenne banques centrales rôles zone euro objectifs stabilité marché intérieur fédéralisme économique Index. décimale : 332.110 94 : Banques centrales - Europe Résumé : La Banque centrale européenne (BCE) est l'institution communautaire qui définit et met en oeuvre la politique monétaire de la zone cure. A ce titre, elle a plutôt bien rempli son office depuis sa création en 1999. Non seulement elle a mis fin aux guerres des monnaies en Europe, mais elle a respecté sa cible d'inflation et maintenu des taux d'intérêt relativement bas. Elle a également assuré à l'euro un statut international et permis aux systèmes bancaires européens de survivre à la crise exceptionnelle de 2008.
Alors, comment expliquer les jugements sévères dont elle est régulièrement l'objet ? Comme le montre Edwin Le Héron en mettant en regard ses fondements doctrinaux et son fonctionnement, la BCE est moins rigide qu'il n'y parait. Si elle affiche effectivement un ordolibéralisme intransigeant, jouit d'une indépendance totale vis-à-vis du pouvoir politique et semble obnubilée par la stabilité des prix, elle sait aussi faire preuve, quand les circonstances l'exigent, d'un fort pragmatisme.
Elle le prouve depuis 2008 en mettant en couvre des politiques "non conventionnelles" qui ne font que souligner les lacunes de son organisation institutionnelle. Quel peut être son avenir dans une Union économique et monétaire bancale que seul un fédéralisme économique et solidaire permettrait de sauvegarder ?
Comment fonctionne la Banque centrale européenne (BCE) ? Quels sont ses sta¬tuts ? Quel bilan peut-on tirer de l'action de la BCE et de ses présidents suc¬cessifs ? Face à la crise, est-elle parvenue à consolider son action en dépit des crispations souverainistes ? Voici quelques-unes des questions auxquelles répond Edwin Le Héron, livrant une analyse à la fois précise et concise sur le rôle et les perspectives d'une institution qui fait régulièrement l'objet de controverses, quant à son indépendance vis-à-vis du pouvoir politique mais aussi à sa mission centrale de stabilité des prix. Cette nouvelle édition actualisée analyse aussi la gestion de la crise de l'euro par la BCE et son action pour accompagner et stimuler la reprise économique.À quoi sert la Banque centrale européenne ? [texte imprimé] / Edwin LE HÉRON, Auteur . - La Documentation Française, 2016 . - 216 pages ; Broché. - (Réflexe Europe) .
ISBN : 978-2-11-010303-1
Langues : Français (fre)
Catégories : Droit bancaire et financier Mots-clés : droit bancaire droit financier banque centrale européenne banques centrales rôles zone euro objectifs stabilité marché intérieur fédéralisme économique Index. décimale : 332.110 94 : Banques centrales - Europe Résumé : La Banque centrale européenne (BCE) est l'institution communautaire qui définit et met en oeuvre la politique monétaire de la zone cure. A ce titre, elle a plutôt bien rempli son office depuis sa création en 1999. Non seulement elle a mis fin aux guerres des monnaies en Europe, mais elle a respecté sa cible d'inflation et maintenu des taux d'intérêt relativement bas. Elle a également assuré à l'euro un statut international et permis aux systèmes bancaires européens de survivre à la crise exceptionnelle de 2008.
Alors, comment expliquer les jugements sévères dont elle est régulièrement l'objet ? Comme le montre Edwin Le Héron en mettant en regard ses fondements doctrinaux et son fonctionnement, la BCE est moins rigide qu'il n'y parait. Si elle affiche effectivement un ordolibéralisme intransigeant, jouit d'une indépendance totale vis-à-vis du pouvoir politique et semble obnubilée par la stabilité des prix, elle sait aussi faire preuve, quand les circonstances l'exigent, d'un fort pragmatisme.
Elle le prouve depuis 2008 en mettant en couvre des politiques "non conventionnelles" qui ne font que souligner les lacunes de son organisation institutionnelle. Quel peut être son avenir dans une Union économique et monétaire bancale que seul un fédéralisme économique et solidaire permettrait de sauvegarder ?
Comment fonctionne la Banque centrale européenne (BCE) ? Quels sont ses sta¬tuts ? Quel bilan peut-on tirer de l'action de la BCE et de ses présidents suc¬cessifs ? Face à la crise, est-elle parvenue à consolider son action en dépit des crispations souverainistes ? Voici quelques-unes des questions auxquelles répond Edwin Le Héron, livrant une analyse à la fois précise et concise sur le rôle et les perspectives d'une institution qui fait régulièrement l'objet de controverses, quant à son indépendance vis-à-vis du pouvoir politique mais aussi à sa mission centrale de stabilité des prix. Cette nouvelle édition actualisée analyse aussi la gestion de la crise de l'euro par la BCE et son action pour accompagner et stimuler la reprise économique.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1963 XI 2016 LEH Livre CREDIMI 301 XI - Droit bancaire et financier Disponible La reconnaissance mutuelle en droit bancaire et financier européen / Roger GASPARD
PermalinkLa réglementation des cryptomonnaies / Loren JOLLY
PermalinkRégulation bancaire et financière européenne et internationale / Thierry BONNEAU
PermalinkRégulation bancaire et financière européenne et internationale / Thierry BONNEAU
PermalinkRégulation bancaire et financière européenne et internationale / Thierry BONNEAU
PermalinkRégulation des instruments financiers hybrides par les accords de Bâle / Catherine FEUNTEUN
PermalinkResearch Handbook on Money Laundering / Brigitte UNGER
PermalinkResponsabilité du banquier et automatisation des paiements / Xavier THUNIS
PermalinkSouveraineté, légitimité de la monnaie / Michel AGLIETTA
PermalinkLe statut juridique de la monnaie étrangère / Laure NURIT-PONTIER
PermalinkLes sûretés sur les marchés financiers / Sébastien PRAICHEUX
PermalinkLes sûretés / André BRUYNEEL
PermalinkLe système bancaire et financier international / Jean-Marie LE PAGE
PermalinkLe système monétaire international / Michel LELART
PermalinkDes systèmes d'information aux blockchains / Wilfrid AZAN
PermalinkLe technicien du commerce international / Pierre-Guy de LENTDECKER
PermalinkTechniques financières internationales / Yves SIMON
PermalinkThe Foundations and Future of Financial Regulation / Mads ANDENAS
PermalinkThe Handbook of White-Collar Crime / Melissa L. RORIE
PermalinkThe increasing impact of human rights law on the financial world / André-Pierre ANDRÉ-DUMONT
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