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La liberté contractuelle du banquier / Anthony MAYMONT
Titre : La liberté contractuelle du banquier Titre original : Réflexions sur la sécurité du système financier Type de document : texte imprimé Auteurs : Anthony MAYMONT, Auteur Année de publication : 2014 Importance : 608 pages Format : Broché ISBN/ISSN/EAN : 978-2-912589-40-8 Langues : Français (fre) Catégories : Droit bancaire et financier Mots-clés : liberté contractuelle banquier affirmation fragmentation droit bancaire contrôle de la liberté limitations contrats financiers systémiques Index. décimale : 346.440 82 : Droit bancaire - France Résumé : La liberté contractuelle du banquier est une liberté parmi d’autres. Cependant, elle est la plus sensible dans la mesure où elle peut avoir des répercussions sur son activité. A priori sans limites aujourd’hui, cette liberté aurait même des conséquences indéniables sur la sécurité du système financier en facilitant le phénomène des "bulles". Le contrat, situé au coeur de l’activité bancaire et financière, serait ainsi la cause de cette réalité.
Les chocs récents, telles les crises financières, imposent l´examen détaillé des opérations bancaires nationales mais aussi internationales, notamment celles les plus dangereuses. Encore méconnue, la mesure de la liberté contractuelle du banquier s’avère nécessaire pour en proposer une relecture. L'objectif n’est donc pas d’exclure toute liberté au banquier mais de définir le degré de liberté contractuelle à lui accorder pour chaque opération.
L'idée étant de lui octroyer un niveau satisfaisant de liberté tout en assurant la sécurité du système financier. L’enjeu repose finalement sur la conciliation de l’impératif contractuel, résultant de la liberté contractuelle du banquier, avec l’impératif de sécurité du système financier, nécessaire à la pérennité des banques et de l’économie mondiale.La liberté contractuelle du banquier = Réflexions sur la sécurité du système financier [texte imprimé] / Anthony MAYMONT, Auteur . - 2014 . - 608 pages ; Broché.
ISBN : 978-2-912589-40-8
Langues : Français (fre)
Catégories : Droit bancaire et financier Mots-clés : liberté contractuelle banquier affirmation fragmentation droit bancaire contrôle de la liberté limitations contrats financiers systémiques Index. décimale : 346.440 82 : Droit bancaire - France Résumé : La liberté contractuelle du banquier est une liberté parmi d’autres. Cependant, elle est la plus sensible dans la mesure où elle peut avoir des répercussions sur son activité. A priori sans limites aujourd’hui, cette liberté aurait même des conséquences indéniables sur la sécurité du système financier en facilitant le phénomène des "bulles". Le contrat, situé au coeur de l’activité bancaire et financière, serait ainsi la cause de cette réalité.
Les chocs récents, telles les crises financières, imposent l´examen détaillé des opérations bancaires nationales mais aussi internationales, notamment celles les plus dangereuses. Encore méconnue, la mesure de la liberté contractuelle du banquier s’avère nécessaire pour en proposer une relecture. L'objectif n’est donc pas d’exclure toute liberté au banquier mais de définir le degré de liberté contractuelle à lui accorder pour chaque opération.
L'idée étant de lui octroyer un niveau satisfaisant de liberté tout en assurant la sécurité du système financier. L’enjeu repose finalement sur la conciliation de l’impératif contractuel, résultant de la liberté contractuelle du banquier, avec l’impératif de sécurité du système financier, nécessaire à la pérennité des banques et de l’économie mondiale.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1951 XI 2014 MAY Livre CREDIMI 301 XI - Droit bancaire et financier Disponible Le pouvoir en droit privé / Emmanuel GAILLARD
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1491 II 1985 GAI Livre CREDIMI 301 II - Sources du droit et ouvrages généraux en droit (ex. : pluralisme…) Disponible Technique et droit des brevets / Matthieu DHENNE
Titre : Technique et droit des brevets Titre original : L'invention en droit des brevets. Type de document : texte imprimé Auteurs : Matthieu DHENNE, Auteur ; Jean-Christophe GALLOUX, Auteur Editeur : LexisNexis Année de publication : 2016 Collection : Bibliothèque de droit de l'entreprise Importance : 490 pages Format : Broché ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7110-2410-0 Langues : Français (fre) Catégories : Propriété industrielle Mots-clés : technique brevets approche corporéiste invention technicité affirmation appropriation chose inventée disparition Index. décimale : 346.440 486 : Brevets d'invention - France Résumé :
La notion de caractère technique est traditionnellement comprise comme la frontière de la brevetabilité. Elle surgit dès qu'un nouveau type d'inventions fait son apparition. C'est ainsi qu'elle est née jadis au dix-neuvième siècle, en Allemagne, au cours du débat relatif à la protection des procédés chimiques. A la suite de la reconnaissance de la brevetabilité de ces derniers, l'on délaissa la technicité. Elle ressurgit avec le développement paroxystique de l'informatique, des méthodes commerciales et des biotechnologies. Un logiciel, une méthode commerciale, une séquence de gènes ou encore une cellule souche sont-ils techniques et donc brevetables ?
Le droit de brevet est un droit de propriété. Dès lors, seule une mise en perspective du rapport de la technique à la propriété est à même de dévoiler le sens de la notion de technicité. Autrement dit :il convient d'abord de partir de la fonction de cette notion au sein de la norme pour ensuite être capable d'en dévoiler l'essence. Or, pour ce faire, l'on doit l'analyser par le biais du prisme du droit commun des biens.
Ainsi, en vertu d'une approche corporéiste, de droit positif, la propriété ne porte que sur des choses corporelles et sur des droits. L'invention est alors une chose corporelle. La technicité, définie comme une transformation de la Nature, justifie sa corporéité. C'est la frontière de l'appropriation ; elle permet de délimiter un domaine de la brevetabilité excluant les choses naturelles et les choses abstraites du droit des brevets. A l'inverse, en vertu d'une approche incorporéiste, qui emporte notre conviction, toutes les choses incorporelles et pas seulement les droits sont appropriables. L'invention serait alors une chose incorporelle. Elle serait appropriable sous réserve de représenter une valeur, c'est-à -dire sous réserve d'être une chose utile et rare. Le domaine de la brevetabilité disparaîtrait. L'invention serait une solution. La technicité serait condition de sa brevetabilité, un critère de son appropriation équivalent à l'utilité en droit commun des biens, exigeant que l'invention soit nécessaire et opérationnelle.
Technique et droit des brevets = L'invention en droit des brevets. [texte imprimé] / Matthieu DHENNE, Auteur ; Jean-Christophe GALLOUX, Auteur . - LexisNexis, 2016 . - 490 pages ; Broché. - (Bibliothèque de droit de l'entreprise) .
ISBN : 978-2-7110-2410-0
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Catégories : Propriété industrielle Mots-clés : technique brevets approche corporéiste invention technicité affirmation appropriation chose inventée disparition Index. décimale : 346.440 486 : Brevets d'invention - France Résumé :
La notion de caractère technique est traditionnellement comprise comme la frontière de la brevetabilité. Elle surgit dès qu'un nouveau type d'inventions fait son apparition. C'est ainsi qu'elle est née jadis au dix-neuvième siècle, en Allemagne, au cours du débat relatif à la protection des procédés chimiques. A la suite de la reconnaissance de la brevetabilité de ces derniers, l'on délaissa la technicité. Elle ressurgit avec le développement paroxystique de l'informatique, des méthodes commerciales et des biotechnologies. Un logiciel, une méthode commerciale, une séquence de gènes ou encore une cellule souche sont-ils techniques et donc brevetables ?
Le droit de brevet est un droit de propriété. Dès lors, seule une mise en perspective du rapport de la technique à la propriété est à même de dévoiler le sens de la notion de technicité. Autrement dit :il convient d'abord de partir de la fonction de cette notion au sein de la norme pour ensuite être capable d'en dévoiler l'essence. Or, pour ce faire, l'on doit l'analyser par le biais du prisme du droit commun des biens.
Ainsi, en vertu d'une approche corporéiste, de droit positif, la propriété ne porte que sur des choses corporelles et sur des droits. L'invention est alors une chose corporelle. La technicité, définie comme une transformation de la Nature, justifie sa corporéité. C'est la frontière de l'appropriation ; elle permet de délimiter un domaine de la brevetabilité excluant les choses naturelles et les choses abstraites du droit des brevets. A l'inverse, en vertu d'une approche incorporéiste, qui emporte notre conviction, toutes les choses incorporelles et pas seulement les droits sont appropriables. L'invention serait alors une chose incorporelle. Elle serait appropriable sous réserve de représenter une valeur, c'est-à -dire sous réserve d'être une chose utile et rare. Le domaine de la brevetabilité disparaîtrait. L'invention serait une solution. La technicité serait condition de sa brevetabilité, un critère de son appropriation équivalent à l'utilité en droit commun des biens, exigeant que l'invention soit nécessaire et opérationnelle.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 2132 XIX 2016 DHE Livre CREDIMI 301 XIX - Droit de la propriété industrielle Disponible