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Titre : La méthode Titre original : La Nature de la nature Type de document : texte imprimé Auteurs : Edgar MORIN, Auteur Editeur : Seuil Année de publication : 1977 Importance : 398 pages Format : Broché ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-004634-3 Langues : Français (fre) Catégories : Ouvrages généraux Mots-clés : philosophie sociale sociologie biologie droit nature méthode Index. décimale : 000 - pas d'indexation décimale connue Résumé : Nous sommes à la recherche d'une connaissance qui traduise la complexité de ce qu'on appelle le réel, respecte l'existence des êtres et le mystère des choses, et comporte le principe de sa propre connaissance. Il nous faut une connaissance dont l'explication ne soit pas mutilation et dont l'action ne soit pas manipulation. Aujourd'hui où ce qui est le plus obscur dans l'évolution humaine agit sous le couvert de la science, où ce qui est le plus obscur dans l'évolution humaine agit sous le couvert de la science, où ce qui est le plus irrationnel se tapit sous le couvert de la raison, il importe de poser fondamentalement le problème d'une nouvelle méthode. Le propos de ce premier volume est d'articuler la science de l'homme à la science de la nature. Dans ce sens, il est nécessaire d'abandonner le principe d'explication qui ne retient que l'ordre des phénomènes (lois, déterminismes, régularités, moyennes) et laisse dans l'ombre le désordre (l'irrégulier, le déviant, l'incertain, l'indéterminé, l'aléatoire), ainsi que l'organisation, qui est pourtant la réalité la plus remarquable de notre univers, puisqu'elle caractérise à la fois l'atome, l'étoile, l'être vivant, la société. Il est proposé ici une conception complexe de la relation ordre/désordre/organisation et - à partir d'une intégration critique de la théorie des systèmes et de la cybernétique - une théorie de l'organisation. Dès lors, nous pouvons voir que notre déviance à l'égard de la nature est animée par la Nature de la Nature. Mais le problème de la connaissance de la nature ne saurait être dissocié du problème de la nature de la connaissance. La connaissance de l'objet le plus physique ne saurait être dissociée d'un sujet connaissant enraciné dans une culture, une société, une histoire. Il est aussi nécessaire de considérer toute connaissance physique dans son enracinement anthropo-social que de considérer toute réalité sociale dans son enracinement physique. Dès lors peut s'ébaucher la méthode de la complexité.
aux éditions Du Seuil à Paris, 1977, in 8 (24 x 15 cm), 398 pages. Couverture souple illustrée. +++++++ Tome 1 de l'oeuvre majeure du sociologue et philosophe Edgar Morin, constituée de six volumes, présentant un caractère encyclopédique : la méthode y est déroulée de façon cyclique, pour ne pas dire répétitive, s'appliquant à de nombreuses notions dont philosophiques. Il convient de noter que les quatre premiers volumes n'ont pas été écrits à la suite les uns des autres. Il n'est pas utile de s'attacher à les lire dans l'ordre, chaque volume constituant un sujet bien distinct. Le premier volume, intitulé La nature de la nature, présente la méthode en adoptant un point de vue physique où sont traités les concepts d'ordre et de désordre, de système, d'information, etc - ENVOI de Edgar Morin à Louis Pauwels - infimes points de rousseurs sur les plats de couverture Bon exemplaire.
Nous avons besoin de ce qui nous aide à penser par nous-même : une méthode. Nous avons besoin d'une méthode de connaissance qui traduise la complexité du réel, reconnaisse l'existence des êtres, approche le mystère des choses. La méthode de la complexité qui s'élabore dans ce premier volume demande : - de concevoir la relation entre ordre/désordre/organisation et d'approfondir la nature de l'organisation. - de ne pas réduire le phénomène à ces éléments constitutifs ni l'isoler (ou l'abstraire) de son environnement. - de ne pas dissocier le problème de la connaissance de la nature de celui de la nature de la connaissance. Tout objet doit être conçu dans sa relation avec un sujet connaissant, lui-même enraciné dans une culture, une société, une histoire.La méthode = La Nature de la nature [texte imprimé] / Edgar MORIN, Auteur . - Seuil, 1977 . - 398 pages ; Broché.
ISBN : 978-2-02-004634-3
Langues : Français (fre)
Catégories : Ouvrages généraux Mots-clés : philosophie sociale sociologie biologie droit nature méthode Index. décimale : 000 - pas d'indexation décimale connue Résumé : Nous sommes à la recherche d'une connaissance qui traduise la complexité de ce qu'on appelle le réel, respecte l'existence des êtres et le mystère des choses, et comporte le principe de sa propre connaissance. Il nous faut une connaissance dont l'explication ne soit pas mutilation et dont l'action ne soit pas manipulation. Aujourd'hui où ce qui est le plus obscur dans l'évolution humaine agit sous le couvert de la science, où ce qui est le plus obscur dans l'évolution humaine agit sous le couvert de la science, où ce qui est le plus irrationnel se tapit sous le couvert de la raison, il importe de poser fondamentalement le problème d'une nouvelle méthode. Le propos de ce premier volume est d'articuler la science de l'homme à la science de la nature. Dans ce sens, il est nécessaire d'abandonner le principe d'explication qui ne retient que l'ordre des phénomènes (lois, déterminismes, régularités, moyennes) et laisse dans l'ombre le désordre (l'irrégulier, le déviant, l'incertain, l'indéterminé, l'aléatoire), ainsi que l'organisation, qui est pourtant la réalité la plus remarquable de notre univers, puisqu'elle caractérise à la fois l'atome, l'étoile, l'être vivant, la société. Il est proposé ici une conception complexe de la relation ordre/désordre/organisation et - à partir d'une intégration critique de la théorie des systèmes et de la cybernétique - une théorie de l'organisation. Dès lors, nous pouvons voir que notre déviance à l'égard de la nature est animée par la Nature de la Nature. Mais le problème de la connaissance de la nature ne saurait être dissocié du problème de la nature de la connaissance. La connaissance de l'objet le plus physique ne saurait être dissociée d'un sujet connaissant enraciné dans une culture, une société, une histoire. Il est aussi nécessaire de considérer toute connaissance physique dans son enracinement anthropo-social que de considérer toute réalité sociale dans son enracinement physique. Dès lors peut s'ébaucher la méthode de la complexité.
aux éditions Du Seuil à Paris, 1977, in 8 (24 x 15 cm), 398 pages. Couverture souple illustrée. +++++++ Tome 1 de l'oeuvre majeure du sociologue et philosophe Edgar Morin, constituée de six volumes, présentant un caractère encyclopédique : la méthode y est déroulée de façon cyclique, pour ne pas dire répétitive, s'appliquant à de nombreuses notions dont philosophiques. Il convient de noter que les quatre premiers volumes n'ont pas été écrits à la suite les uns des autres. Il n'est pas utile de s'attacher à les lire dans l'ordre, chaque volume constituant un sujet bien distinct. Le premier volume, intitulé La nature de la nature, présente la méthode en adoptant un point de vue physique où sont traités les concepts d'ordre et de désordre, de système, d'information, etc - ENVOI de Edgar Morin à Louis Pauwels - infimes points de rousseurs sur les plats de couverture Bon exemplaire.
Nous avons besoin de ce qui nous aide à penser par nous-même : une méthode. Nous avons besoin d'une méthode de connaissance qui traduise la complexité du réel, reconnaisse l'existence des êtres, approche le mystère des choses. La méthode de la complexité qui s'élabore dans ce premier volume demande : - de concevoir la relation entre ordre/désordre/organisation et d'approfondir la nature de l'organisation. - de ne pas réduire le phénomène à ces éléments constitutifs ni l'isoler (ou l'abstraire) de son environnement. - de ne pas dissocier le problème de la connaissance de la nature de celui de la nature de la connaissance. Tout objet doit être conçu dans sa relation avec un sujet connaissant, lui-même enraciné dans une culture, une société, une histoire.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1378 I 1977 MOR Livre CREDIMI 301 Section à déterminer Disponible
Titre : Les méthodes du droit international privé à l'épreuve des conflits de cultures Type de document : texte imprimé Auteurs : Léna GANNAGE, Auteur Editeur : ADI-Poche Année de publication : 2013 Importance : 364 pages Format : Broché ISBN/ISSN/EAN : 978-90-04-25750-4 Langues : Français (fre) Catégories : Droit international Privé
Ouvrages générauxMots-clés : droit international privé méthodes conflits de culture droit comparé systèmes musulmans impact religieux méthodologie ordre public systèmes européens droits culturels objectifs pertinence Index. décimale : 000 - pas d'indexation décimale connue Les méthodes du droit international privé à l'épreuve des conflits de cultures [texte imprimé] / Léna GANNAGE, Auteur . - ADI-Poche, 2013 . - 364 pages ; Broché.
ISBN : 978-90-04-25750-4
Langues : Français (fre)Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1761 III 2013 GAN Livre CREDIMI 301 III - Droit international privé (national, européen et comparé) Disponible
Titre : La mondialisation a-t-elle une âme ? Titre original : Morale, spiritualités et vie des affaires Type de document : texte imprimé Auteurs : Bertrand BADRÉ, Auteur ; Philippe CHALMIN, Auteur ; Nicolas TISSOT, Auteur Editeur : Economica Année de publication : 1998 Importance : 194 pages Format : Broché ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7178-3769-8 Langues : Français (fre) Catégories : Droit international économique
Ethique des affaires
Ouvrages générauxMots-clés : mondialisation morale spiritualités vie des affaires aspect religieux économie politique Index. décimale : 174.4 : Éthique des affaires Résumé : Mondialisation de l'économie, ouverture des frontières et multiplication des contacts internationaux ont mis fin au cloisonnement des cultures et notamment des spiritualités et des religions. Le regard moral porté sur les problèmes économiques tout comme sur la vie quotidienne des affaires dépend de l'héritage de chacune de ces spiritualités. C'est à une découverte de la pensée économique des grandes spiritualités de notre planète qu'invite ce livre tiré d'un séminaire tenu en 1997198 à l'université Paris-IX-Dauphine et qui a associé théologiens et chefs d'entreprise : - le père Henri Madelin, le pasteur Alain Houziaux, Claude Riveline, le lama Denys Tendroup... - Michel Albert (CPM), Jacques-Henri David (BDPME), Bernard Esambert (Bolloré), Arnaud Leenhardt (UIMM), Fabien Ouaki (Tati), Didier Pineau- Valencienne (Schneider), Gérard Worms (Rothschild)... La mondialisation a-t-elle une âme ? = Morale, spiritualités et vie des affaires [texte imprimé] / Bertrand BADRÉ, Auteur ; Philippe CHALMIN, Auteur ; Nicolas TISSOT, Auteur . - Economica, 1998 . - 194 pages ; Broché.
ISBN : 978-2-7178-3769-8
Langues : Français (fre)
Catégories : Droit international économique
Ethique des affaires
Ouvrages générauxMots-clés : mondialisation morale spiritualités vie des affaires aspect religieux économie politique Index. décimale : 174.4 : Éthique des affaires Résumé : Mondialisation de l'économie, ouverture des frontières et multiplication des contacts internationaux ont mis fin au cloisonnement des cultures et notamment des spiritualités et des religions. Le regard moral porté sur les problèmes économiques tout comme sur la vie quotidienne des affaires dépend de l'héritage de chacune de ces spiritualités. C'est à une découverte de la pensée économique des grandes spiritualités de notre planète qu'invite ce livre tiré d'un séminaire tenu en 1997198 à l'université Paris-IX-Dauphine et qui a associé théologiens et chefs d'entreprise : - le père Henri Madelin, le pasteur Alain Houziaux, Claude Riveline, le lama Denys Tendroup... - Michel Albert (CPM), Jacques-Henri David (BDPME), Bernard Esambert (Bolloré), Arnaud Leenhardt (UIMM), Fabien Ouaki (Tati), Didier Pineau- Valencienne (Schneider), Gérard Worms (Rothschild)... Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1807 I 1998 BAD Livre CREDIMI 301 I - Ouvrages généraux Disponible
Titre : Le mythe des marchés efficients Type de document : texte imprimé Auteurs : Justin FOX, Auteur ; Guy RUSSELL, Auteur Editeur : Valor Éditions Année de publication : 2013 Collection : Livres d'investissement Importance : 396 pages Format : Broché ISBN/ISSN/EAN : 978-2-909356-95-2 Langues : Français (fre) Catégories : Droit bancaire et financier
Ouvrages générauxMots-clés : marché efficient économie politique marché rationnel économique wall street homo economicus entreprise Index. décimale : 332.64 : Échange de titres et de marchandises ; spéculation Résumé : Chronique de la grandeur et de la décadence de la théorie des marchés efficients et du secteur financier contemporain au long du siècle écoulé, Le mythe des marchés efficients de Justin Fox est autant un jeu de piste intellectuel qu'un historique culturel esquissant les périls et les éventualités du risque. L'ouvrage ressuscite les personnes et idées ayant forgé le monde moderne de la finance et de l'investissement, depuis les premiers temps de Wall Street, en passant par la Grande Dépression, jusqu'à la récente débâcle financière.
Ayant longtemps fait partie du folklore académique, codifiée dans les années 1960 à l'université de Chicago, l'hypothèse des marchés efficients est devenue un mythe puissant. Elle est à l'origine de fortunes gagnées et perdues, le moteur de trillions de dollars, l'inspiration de fonds indiciels et de nouveaux marchés de produits dérivés imposants, et la source de milliers de carrières. Selon la théorie, le marché a toujours raison, et les décisions de millions d'investisseurs rationnels, chacun se conformant aux informations afin de jouer plus finement que son prochain, représentent invariablement la meilleure mesure de la valeur d'une action.
Ce mythe est en passe de s'écrouler. Illustre journaliste, Justin Fox nous présente une nouvelle vague d'économistes et d'universitaires ne professant plus que l'investisseur est rationnel ou que les marchés ont toujours raison. Nombre de ceux-ci conviennent désormais, avec le professeur de Yale, Robert Shiller, que la théorie des marchés efficients"représente l'une des erreurs les plus insolites de l'histoire de la pensée économique".
Aujourd'hui cette théorie a cédé le pas aux hypothèses comportementales contre-intuitives, aux modèles décisionnels psychologiques, et à l'irrationalité des marchés. Les investisseurs surréagissent, sous-réagissent, et prennent des décisions irrationnelles fondées sur des données partielles. Dans son analyse marquante de l'histoire des marchés financiers mondiaux, Fox lève le voile sur les nouvelles idées susceptibles de remorquer le marché clans le siècle à venir.Le mythe des marchés efficients [texte imprimé] / Justin FOX, Auteur ; Guy RUSSELL, Auteur . - Valor Éditions, 2013 . - 396 pages ; Broché. - (Livres d'investissement) .
ISBN : 978-2-909356-95-2
Langues : Français (fre)
Catégories : Droit bancaire et financier
Ouvrages générauxMots-clés : marché efficient économie politique marché rationnel économique wall street homo economicus entreprise Index. décimale : 332.64 : Échange de titres et de marchandises ; spéculation Résumé : Chronique de la grandeur et de la décadence de la théorie des marchés efficients et du secteur financier contemporain au long du siècle écoulé, Le mythe des marchés efficients de Justin Fox est autant un jeu de piste intellectuel qu'un historique culturel esquissant les périls et les éventualités du risque. L'ouvrage ressuscite les personnes et idées ayant forgé le monde moderne de la finance et de l'investissement, depuis les premiers temps de Wall Street, en passant par la Grande Dépression, jusqu'à la récente débâcle financière.
Ayant longtemps fait partie du folklore académique, codifiée dans les années 1960 à l'université de Chicago, l'hypothèse des marchés efficients est devenue un mythe puissant. Elle est à l'origine de fortunes gagnées et perdues, le moteur de trillions de dollars, l'inspiration de fonds indiciels et de nouveaux marchés de produits dérivés imposants, et la source de milliers de carrières. Selon la théorie, le marché a toujours raison, et les décisions de millions d'investisseurs rationnels, chacun se conformant aux informations afin de jouer plus finement que son prochain, représentent invariablement la meilleure mesure de la valeur d'une action.
Ce mythe est en passe de s'écrouler. Illustre journaliste, Justin Fox nous présente une nouvelle vague d'économistes et d'universitaires ne professant plus que l'investisseur est rationnel ou que les marchés ont toujours raison. Nombre de ceux-ci conviennent désormais, avec le professeur de Yale, Robert Shiller, que la théorie des marchés efficients"représente l'une des erreurs les plus insolites de l'histoire de la pensée économique".
Aujourd'hui cette théorie a cédé le pas aux hypothèses comportementales contre-intuitives, aux modèles décisionnels psychologiques, et à l'irrationalité des marchés. Les investisseurs surréagissent, sous-réagissent, et prennent des décisions irrationnelles fondées sur des données partielles. Dans son analyse marquante de l'histoire des marchés financiers mondiaux, Fox lève le voile sur les nouvelles idées susceptibles de remorquer le marché clans le siècle à venir.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1925 XI 2013 FOX Livre CREDIMI 301 XI - Droit bancaire et financier Disponible
Titre : La norme sans la force Titre original : L'énigme de la puissance européenne Type de document : texte imprimé Auteurs : Zaki LAÏDI, Auteur Editeur : Presses de la Fondation nationale des sciences politiques Année de publication : 2013 Importance : 304 pages Format : Broché ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7246-1411-4 Langues : Français (fre) Catégories : Ouvrages généraux Mots-clés : union européenne normes supranationales ordre international géopolitique constitutionnalisation Index. décimale : 341.242 209051 : Union européenne Résumé : En dépit de la montée en puissance des pays émergents, l'Europe reste la première puissance commerciale du monde et l'euro, en pleine tourmente, est toujours la seconde monnaie de réserve derrière le dollar. Elle demeure cependant en position d'influencer le jeu mondial par le pouvoir de ses normes dans des domaines aussi différents que l'environnement, la finance ou la protection sociale. Sa "faiblesse" issue d'une réticence à recourir à la force, ne l'a pourtant pas empêché de remporter des succès en Libye, ou au Mali.
Contrairement à certaines idées reçues, l'Europe parvient à défendre ses intérêts quand ils sont directement en jeu. Mais parce qu'elle n'est pas un Etat, elle n'arrive pas à les fondre dans une stratégie globale qui lui donnerait plus de d'éclat et surtout de force.
Le storytelling de l'Europe, construit autour de la norme plutôt que sur la force, est-il encore crédible aujourd'hui face à la montée en puissance des grands pays émergents et à l'instabilité de son voisinage méditerranéen ? Les États européens ne sont-ils pas eux-mêmes contraints de recourir à la force en Libye ou au Mali quand l'Union s'y refuse ?Zaki Laïdi répond à cette question en exposant les raisons de la préférence européenne pour la norme, depuis le traité de Rome, les résultats obtenus grâce à elle mais également les limites qu'elle rencontre aujourd'hui.La norme sans la force = L'énigme de la puissance européenne [texte imprimé] / Zaki LAÏDI, Auteur . - Presses de la Fondation nationale des sciences politiques, 2013 . - 304 pages ; Broché.
ISBN : 978-2-7246-1411-4
Langues : Français (fre)
Catégories : Ouvrages généraux Mots-clés : union européenne normes supranationales ordre international géopolitique constitutionnalisation Index. décimale : 341.242 209051 : Union européenne Résumé : En dépit de la montée en puissance des pays émergents, l'Europe reste la première puissance commerciale du monde et l'euro, en pleine tourmente, est toujours la seconde monnaie de réserve derrière le dollar. Elle demeure cependant en position d'influencer le jeu mondial par le pouvoir de ses normes dans des domaines aussi différents que l'environnement, la finance ou la protection sociale. Sa "faiblesse" issue d'une réticence à recourir à la force, ne l'a pourtant pas empêché de remporter des succès en Libye, ou au Mali.
Contrairement à certaines idées reçues, l'Europe parvient à défendre ses intérêts quand ils sont directement en jeu. Mais parce qu'elle n'est pas un Etat, elle n'arrive pas à les fondre dans une stratégie globale qui lui donnerait plus de d'éclat et surtout de force.
Le storytelling de l'Europe, construit autour de la norme plutôt que sur la force, est-il encore crédible aujourd'hui face à la montée en puissance des grands pays émergents et à l'instabilité de son voisinage méditerranéen ? Les États européens ne sont-ils pas eux-mêmes contraints de recourir à la force en Libye ou au Mali quand l'Union s'y refuse ?Zaki Laïdi répond à cette question en exposant les raisons de la préférence européenne pour la norme, depuis le traité de Rome, les résultats obtenus grâce à elle mais également les limites qu'elle rencontre aujourd'hui.Réservation
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