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Indisciplines / Science-Technologie-Société
Titre : Indisciplines Titre original : Cahiers STS Type de document : texte imprimé Auteurs : Science-Technologie-Société, Auteur ; Collectif, Auteur Editeur : CNRS Editions Année de publication : 1984 Importance : 159 pages Format : Broché ISBN/ISSN/EAN : 978-2-222-03452-0 Langues : Français (fre) Catégories : Ouvrages généraux Mots-clés : interdisciplinarité droit recherche sciences technologies société Index. décimale : 000 - pas d'indexation décimale connue Indisciplines = Cahiers STS [texte imprimé] / Science-Technologie-Société, Auteur ; Collectif, Auteur . - CNRS Editions, 1984 . - 159 pages ; Broché.
ISBN : 978-2-222-03452-0
Langues : Français (fre)
Catégories : Ouvrages généraux Mots-clés : interdisciplinarité droit recherche sciences technologies société Index. décimale : 000 - pas d'indexation décimale connue Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1335 I 1984 SCI 1 Livre CREDIMI 301 I - Ouvrages généraux Disponible L'inégalité du monde / Pierre-Noël GIRAUD
Titre : L'inégalité du monde Titre original : Économie du monde contemporain Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre-Noël GIRAUD, Auteur Editeur : Gallimard Année de publication : 1996 Importance : 352 pages Format : Broché ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-032954-0 Langues : Français (fre) Catégories : Ouvrages généraux Mots-clés : économie mondiale capitalisme territoire pays d'industrialisation politique finances internationales géopolitique nomadisation des capitaux concurrence compétitivité Index. décimale : 000 - pas d'indexation décimale connue Résumé : L'inégalité, ou : pourquoi y a-t-il des riches et des pauvres ? A cette question essentielle de l'économie, Pierre-Noël Giraud apporte une réponse originale : plutôt que de mettre en rapport inégalité sociale et croissance dans chaque pays, il préfère embrasser, sur deux siècles, les inégalités internes et externes, sociales et spatiales, des capitalismes, restituant, par là même, la dynamique de l'économie du monde contemporain. Emergence des inégalités entre pays, réduction des inégalités sociales internes en fin de période, tel aura été - du XVIIIè siècle aux années soixante-dix de ce siècle - le double mouvement d'ensemble de l'inégalité du monde. Or, depuis vingt ans, ce mouvement s'inverse. Un rattrapage des pays riches extrêmement rapide a été entamé, non seulement par les " nouveaux pays industrialisés " (Corée du Sud, Taiwan, Singapour), mais aussi - fait majeur de cette fin de siècle - par les vastes " pays à bas salaire et à capacité technologique " : la Chine, l'Inde, l'ex-Union soviétique. Cependant, cette réduction des écarts entre pays s'accompagne, au sein des pays riches, d'une croissance des inégalités polarisant la société en une minorité de " compétitifs " et un large groupe de " protégés " qui deviennent les clients des premiers. Nous sommes désormais entrés dans une nouvelle ère de l'inégalité du monde.
"Pourquoi y a-t-il des riches et des pauvres ?" Pour Pierre-Noël Giraud, comprendre les inégalités constitue l'interrogation majeure de l'économie. Examinant l'histoire des capitalismes depuis le XVIIIe siècle, il décèle un retournement de tendance dans les années quatre-vingt. Si, jusqu'à cette période, les écarts de richesses entre pays se sont accrus, les inégalités sociales internes ont diminué. C'est l'inverse qui se produit aujourd'hui sous l'effet de la globalisation. Les nouveaux pays industrialisés et les "pays à bas salaires et à capacités technologiques" profitent des échanges internationaux et de la "nomadisation des activités capitalistes" pour se développer et combler une partie de leur retard. Mais les travailleurs non qualifiés des pays développés en subissent les conséquences, provoquant à terme un laminage des classes moyennes salariées, éclatées entre les compétitifs, les protégés et les exposés à la concurrence internationale.
Une thèse stimulante sur les effets de la mondialisation. --Gery DumoulinL'inégalité du monde = Économie du monde contemporain [texte imprimé] / Pierre-Noël GIRAUD, Auteur . - Gallimard, 1996 . - 352 pages ; Broché.
ISBN : 978-2-07-032954-0
Langues : Français (fre)
Catégories : Ouvrages généraux Mots-clés : économie mondiale capitalisme territoire pays d'industrialisation politique finances internationales géopolitique nomadisation des capitaux concurrence compétitivité Index. décimale : 000 - pas d'indexation décimale connue Résumé : L'inégalité, ou : pourquoi y a-t-il des riches et des pauvres ? A cette question essentielle de l'économie, Pierre-Noël Giraud apporte une réponse originale : plutôt que de mettre en rapport inégalité sociale et croissance dans chaque pays, il préfère embrasser, sur deux siècles, les inégalités internes et externes, sociales et spatiales, des capitalismes, restituant, par là même, la dynamique de l'économie du monde contemporain. Emergence des inégalités entre pays, réduction des inégalités sociales internes en fin de période, tel aura été - du XVIIIè siècle aux années soixante-dix de ce siècle - le double mouvement d'ensemble de l'inégalité du monde. Or, depuis vingt ans, ce mouvement s'inverse. Un rattrapage des pays riches extrêmement rapide a été entamé, non seulement par les " nouveaux pays industrialisés " (Corée du Sud, Taiwan, Singapour), mais aussi - fait majeur de cette fin de siècle - par les vastes " pays à bas salaire et à capacité technologique " : la Chine, l'Inde, l'ex-Union soviétique. Cependant, cette réduction des écarts entre pays s'accompagne, au sein des pays riches, d'une croissance des inégalités polarisant la société en une minorité de " compétitifs " et un large groupe de " protégés " qui deviennent les clients des premiers. Nous sommes désormais entrés dans une nouvelle ère de l'inégalité du monde.
"Pourquoi y a-t-il des riches et des pauvres ?" Pour Pierre-Noël Giraud, comprendre les inégalités constitue l'interrogation majeure de l'économie. Examinant l'histoire des capitalismes depuis le XVIIIe siècle, il décèle un retournement de tendance dans les années quatre-vingt. Si, jusqu'à cette période, les écarts de richesses entre pays se sont accrus, les inégalités sociales internes ont diminué. C'est l'inverse qui se produit aujourd'hui sous l'effet de la globalisation. Les nouveaux pays industrialisés et les "pays à bas salaires et à capacités technologiques" profitent des échanges internationaux et de la "nomadisation des activités capitalistes" pour se développer et combler une partie de leur retard. Mais les travailleurs non qualifiés des pays développés en subissent les conséquences, provoquant à terme un laminage des classes moyennes salariées, éclatées entre les compétitifs, les protégés et les exposés à la concurrence internationale.
Une thèse stimulante sur les effets de la mondialisation. --Gery DumoulinRéservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1349 I 1996 GIR Livre CREDIMI 301 I - Ouvrages généraux Disponible International Law and Ethics After the Critical Challenge / Euan MacDONALD
Titre : International Law and Ethics After the Critical Challenge Titre original : Framing the Legal Within the Post-Foundational Type de document : texte imprimé Auteurs : Euan MacDONALD, Auteur Editeur : Martinus Nijhoff Année de publication : 2011 Collection : The Erik Castrén Institute monographs on international law and human rights Importance : 448 pages Format : Relié ISBN/ISSN/EAN : 978-90-04-18909-6 Langues : Anglais (eng) Catégories : Droit international public et organisations internationales
Ethique des affaires
Ouvrages générauxMots-clés : international law ethics critical challenge philosophie juridique Index. décimale : 341 Droit international Résumé : Around twenty years ago, a challenge was laid down to international law by those writing at the critical periphery of the discipline; a challenge that has yet to find satisfactory response. Although often (mistakenly) characterised as nihilist, this book seeks to recast it in positive terms; to pose the question of what - if anything - is left of international law and ethics if we accept both that apolitical rules are impossible and that the values that must - inevitably - be used to justify them are irreducibly, radically subjective. After detailed analyses of different political and international legal philosophers who have confronted this issue, the answer is located in a "turn to literature" and a rehabilitation of the ancient notion of rhetoric. International Law and Ethics After the Critical Challenge = Framing the Legal Within the Post-Foundational [texte imprimé] / Euan MacDONALD, Auteur . - Martinus Nijhoff, 2011 . - 448 pages ; Relié. - (The Erik Castrén Institute monographs on international law and human rights) .
ISBN : 978-90-04-18909-6
Langues : Anglais (eng)
Catégories : Droit international public et organisations internationales
Ethique des affaires
Ouvrages générauxMots-clés : international law ethics critical challenge philosophie juridique Index. décimale : 341 Droit international Résumé : Around twenty years ago, a challenge was laid down to international law by those writing at the critical periphery of the discipline; a challenge that has yet to find satisfactory response. Although often (mistakenly) characterised as nihilist, this book seeks to recast it in positive terms; to pose the question of what - if anything - is left of international law and ethics if we accept both that apolitical rules are impossible and that the values that must - inevitably - be used to justify them are irreducibly, radically subjective. After detailed analyses of different political and international legal philosophers who have confronted this issue, the answer is located in a "turn to literature" and a rehabilitation of the ancient notion of rhetoric. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1189 I 2011 MAC Livre CREDIMI 301 I - Ouvrages généraux Disponible L'interprétation de la norme juridique / Mounir SNOUSSI
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1237 I 2010 SNO Livre CREDIMI 301 I - Ouvrages généraux Disponible Interpréter & traduire / Jean-Jacques SUEUR
Titre : Interpréter & traduire Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Jacques SUEUR, Auteur Editeur : Bruylant Année de publication : 2007 Importance : 368 pages Format : Broché ISBN/ISSN/EAN : 978-2-8027-2400-1 Langues : Français (fre) Catégories : Ouvrages généraux Mots-clés : interprétation linguistique traduction juridique droit comparé conventions internationales union européenne Index. décimale : 000 - pas d'indexation décimale connue Résumé : De nombreux travaux doctrinaux entrepris outre-atlantique, sous l'influence d'une jurisprudence abondante et ancienne émanant de la Cour Suprême des États-Unis, ont abouti à mettre en évidence les liens qui existent entre l'acte d'interprétation et la traduction d'un texte qu'il soit juridique ou littéraire. Mais aussi toutes les équivoques qui pèsent sur ces opérations mentales de « découverte » du sens : interpréter un énoncé juridique ou autre chose (nous ne cessons d'interpréter...), c'est toujours un peu traduire, c'est-à -dire le transporter – cet énoncé – d'un univers de significations dans un autre, le nôtre ou celui des nôtres (communauté de sens). Et cette opération mentale-là ne peut se faire sans déformations, altérations de toutes sortes. Le prétendu « retour au texte », variante du mythe du paradis perdu, est évidemment impossible et interpréter – quelles que soient les choses interprétées-, c'est bien souvent refaire le monde. On le mesure aisément à la place qu'occupe et qu'a toujours occupée la Cour Suprême dans la vie et le débat politiques américains. Inversement, traduire, c'est aussi, presque toujours, interpréter, c'est-à -dire donner au texte traduit un sens valable, donc audible pour ceux à qui cette traduction est destinée, car rares sont les mots qui trouvent leur exact équivalent dans une langue étrangère. Cela vaut pour toutes les traductions et tous les traducteurs, y compris les traducteurs de textes juridiques. Mais, on le sait bien aussi, le droit n'est pas tout à fait un langage comme les autres (et tout n'est pas langage de droit...); ce langage a sa « grammaire », son « alphabet », autrement dit ses mots à lui, qui ne se retrouvent dans aucune autre langue mais qui empruntent un peu à toutes, au point qu'il est question parfois à son sujet d'universalité (Babel retrouvée?). Comme les traductions sont de plus en plus nombreuses et que l'interprétation, d'où qu'elle vienne, fait de plus en plus question chez les juristes, il est apparu intéressant de confronter ces expériences et les controverses qu'elles suscitent. Confirment-elles ou infirment-elles le rôle de l'interprète et la nécessaire intervention de celui-ci pour « animer le texte » comme l'écrit F. Michaut, autrement dit pour le continuer ? C'est à quelques-unes de ces questions qu'on a voulu apporter un commencement de réponse dans le cadre du colloque organisé en novembre 2005 par le Centre d'études et de recherches de contentieux (C.E.R.C.). Avec l'espoir que ce commencement aura une suite à son tour. Interpréter & traduire [texte imprimé] / Jean-Jacques SUEUR, Auteur . - Bruylant, 2007 . - 368 pages ; Broché.
ISBN : 978-2-8027-2400-1
Langues : Français (fre)
Catégories : Ouvrages généraux Mots-clés : interprétation linguistique traduction juridique droit comparé conventions internationales union européenne Index. décimale : 000 - pas d'indexation décimale connue Résumé : De nombreux travaux doctrinaux entrepris outre-atlantique, sous l'influence d'une jurisprudence abondante et ancienne émanant de la Cour Suprême des États-Unis, ont abouti à mettre en évidence les liens qui existent entre l'acte d'interprétation et la traduction d'un texte qu'il soit juridique ou littéraire. Mais aussi toutes les équivoques qui pèsent sur ces opérations mentales de « découverte » du sens : interpréter un énoncé juridique ou autre chose (nous ne cessons d'interpréter...), c'est toujours un peu traduire, c'est-à -dire le transporter – cet énoncé – d'un univers de significations dans un autre, le nôtre ou celui des nôtres (communauté de sens). Et cette opération mentale-là ne peut se faire sans déformations, altérations de toutes sortes. Le prétendu « retour au texte », variante du mythe du paradis perdu, est évidemment impossible et interpréter – quelles que soient les choses interprétées-, c'est bien souvent refaire le monde. On le mesure aisément à la place qu'occupe et qu'a toujours occupée la Cour Suprême dans la vie et le débat politiques américains. Inversement, traduire, c'est aussi, presque toujours, interpréter, c'est-à -dire donner au texte traduit un sens valable, donc audible pour ceux à qui cette traduction est destinée, car rares sont les mots qui trouvent leur exact équivalent dans une langue étrangère. Cela vaut pour toutes les traductions et tous les traducteurs, y compris les traducteurs de textes juridiques. Mais, on le sait bien aussi, le droit n'est pas tout à fait un langage comme les autres (et tout n'est pas langage de droit...); ce langage a sa « grammaire », son « alphabet », autrement dit ses mots à lui, qui ne se retrouvent dans aucune autre langue mais qui empruntent un peu à toutes, au point qu'il est question parfois à son sujet d'universalité (Babel retrouvée?). Comme les traductions sont de plus en plus nombreuses et que l'interprétation, d'où qu'elle vienne, fait de plus en plus question chez les juristes, il est apparu intéressant de confronter ces expériences et les controverses qu'elles suscitent. Confirment-elles ou infirment-elles le rôle de l'interprète et la nécessaire intervention de celui-ci pour « animer le texte » comme l'écrit F. Michaut, autrement dit pour le continuer ? C'est à quelques-unes de ces questions qu'on a voulu apporter un commencement de réponse dans le cadre du colloque organisé en novembre 2005 par le Centre d'études et de recherches de contentieux (C.E.R.C.). Avec l'espoir que ce commencement aura une suite à son tour. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1286 I 2007 SUE Livre CREDIMI 301 I - Ouvrages généraux Disponible Introduction au droit martien / Philibert LEDOUX
PermalinkIntroduction à l'histoire des relations internationales / Pierre RENOUVIN
PermalinkIntroduction à une philosophie de l'administration / Robert CATHERINE
PermalinkL'investissement immatériel, coeur d'une économie fondée sur le savoir / Patrick EPINGARD
PermalinkJean Carbonnier. Un juriste dans la cité / André-Jean ARNAUD
PermalinkJean Carbonnier / Francesco Saverio NISIO
PermalinkJuges consuls et marchands / Marie-Louise JACOTEY
PermalinkJurilinguistique : entre langues et droits / Jean-Claude GÉMAR
PermalinkKarl POPPER / Science-Technologie-Société
PermalinkLe langage du droit / Michel VILLEY
PermalinkLeçons sur l'égalité / Lucien SFEZ
PermalinkLégitimité et légitimation de la science / Science-Technologie-Société
PermalinkLiber amicorum en l'honneur de Serge Sur / Gilles ANDREANI
PermalinkLiber amicorum / Marie GORE
PermalinkLibertés et droits fondamentaux / Rémy CABRILLAC
PermalinkLibre droit / Bernard BEIGNIER
PermalinkLocutions latines du droit français / Henri ROLAND
PermalinkLa loi des juges / François RIGAUX
PermalinkLes magistratures economiques et la crise / Alexis JACQUEMIN
PermalinkLe meilleur est avenir / Jacques MESTRE
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