Bibliothèque CREDIMI
Résultat de la recherche
2 recherche sur le mot-clé 'fonds de pension'
Affiner la recherche Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche Interroger des sources externes
Le commerce des promesses / Pierre-Noël GIRAUD
Titre : Le commerce des promesses Titre original : Petit traité sur la finance moderne Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre-Noël GIRAUD, Auteur Editeur : Seuil Année de publication : 2001 Importance : 370 pages Format : Broché ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-038110-9 Langues : Français (fre) Catégories : Droit bancaire et financier
Droit international économiqueMots-clés : finance développement économique mondialisation finances internationales flux financiers régulation crises monnaie marché global spéculations fonds de pension Index. décimale : 337 Économie internationale Résumé : La finance a envahi l’actualité. Sa complexité, l’énormité des sommes en jeu, la rapidité des fortunes et des ruines, la valse des Bourses et des monnaies, l’émergence de puissances hors contrôle des États, tout cela fascine ou inquiète. Ce qui, pour les uns, est victoire de la liberté et de l’efficacité n’est, pour les autres, que fatal dérèglement des capitalismes. Le premier objectif de l’auteur est ici d’écarter les peurs nées de l’ignorance et de faire naître d’une froide rigueur les questions pertinentes. Pourquoi et au profit de qui les capitaux circulent-ils ? Qu’est-ce qu’une bulle spéculative, comment naît une crise financière et qui en paye finalement le prix ? Pourquoi les inégalités croissantes accompagnent-elles la globalisation ? Les entreprises sont-elles désormais soumises aux exigences des fonds de pension ? Les États ont-ils perdu tout pouvoir économique au profit des marchés ? Autant de questions auxquelles l’auteur répond par des analyses d’une rare clarté. Il le fait en déployant toutes les conséquences d’un constat simple mais occulté : ce dont la finance fait commerce n’est jamais que des « promesses », des droits sur la richesse future que rien ne peut garantir, car l’avenir est irréductiblement incertain. Au fil de cette enquête au cœur de la finance globale se dégage un message sans concession mais non sans espoir. La globalisation tend certes à engendrer ici ou là une croissance plus vigoureuse, mais aussi un monde plus brutal, imprévisible et inégalitaire, où les « compétitifs » sont tentés de se désolidariser des autres. Une croissance moins inégalitaire reste cependant possible ; elle ne dépend que du retour de la volonté politique, sous des formes, il est vrai profondément renouvelées.
L'économiste Pierre-Noël Giraud a voulu, dans cet ouvrage, "faire progresser la réflexion des économistes dont la finance est souvent absente des analyses". Pour cela, il montre en quoi celle-ci repose essentiellement sur des paris, des croyances et des "promesses", à savoir des composantes humaines incertaines et non pas des échanges de biens objectifs qu'il serait possible de prévoir. Pierre-Noël Giraud, qui ne se cache pas de ne pas apprécier les auditeurs financiers, fustige donc ceux qui prétendraient savoir ce que l'avenir réserve aux marchés. Hors de son aspect polémique, ce livre, lauréat du Grand Prix du livre de management et de stratégie 2001 vulgarise très bien la finance ; c'est pourquoi il a été primé. L'impact du secteur de la finance est en effet de nos jours un aspect que les chefs d'entreprise et les cadres dirigeants ne peuvent négliger. Mais, souvent difficile à comprendre, cette dimension de l'économie nécessitait une mise au clair que l'auteur, très pédagogue, de cet ouvrage a réussi au mieux.Le commerce des promesses = Petit traité sur la finance moderne [texte imprimé] / Pierre-Noël GIRAUD, Auteur . - Seuil, 2001 . - 370 pages ; Broché.
ISBN : 978-2-02-038110-9
Langues : Français (fre)
Catégories : Droit bancaire et financier
Droit international économiqueMots-clés : finance développement économique mondialisation finances internationales flux financiers régulation crises monnaie marché global spéculations fonds de pension Index. décimale : 337 Économie internationale Résumé : La finance a envahi l’actualité. Sa complexité, l’énormité des sommes en jeu, la rapidité des fortunes et des ruines, la valse des Bourses et des monnaies, l’émergence de puissances hors contrôle des États, tout cela fascine ou inquiète. Ce qui, pour les uns, est victoire de la liberté et de l’efficacité n’est, pour les autres, que fatal dérèglement des capitalismes. Le premier objectif de l’auteur est ici d’écarter les peurs nées de l’ignorance et de faire naître d’une froide rigueur les questions pertinentes. Pourquoi et au profit de qui les capitaux circulent-ils ? Qu’est-ce qu’une bulle spéculative, comment naît une crise financière et qui en paye finalement le prix ? Pourquoi les inégalités croissantes accompagnent-elles la globalisation ? Les entreprises sont-elles désormais soumises aux exigences des fonds de pension ? Les États ont-ils perdu tout pouvoir économique au profit des marchés ? Autant de questions auxquelles l’auteur répond par des analyses d’une rare clarté. Il le fait en déployant toutes les conséquences d’un constat simple mais occulté : ce dont la finance fait commerce n’est jamais que des « promesses », des droits sur la richesse future que rien ne peut garantir, car l’avenir est irréductiblement incertain. Au fil de cette enquête au cœur de la finance globale se dégage un message sans concession mais non sans espoir. La globalisation tend certes à engendrer ici ou là une croissance plus vigoureuse, mais aussi un monde plus brutal, imprévisible et inégalitaire, où les « compétitifs » sont tentés de se désolidariser des autres. Une croissance moins inégalitaire reste cependant possible ; elle ne dépend que du retour de la volonté politique, sous des formes, il est vrai profondément renouvelées.
L'économiste Pierre-Noël Giraud a voulu, dans cet ouvrage, "faire progresser la réflexion des économistes dont la finance est souvent absente des analyses". Pour cela, il montre en quoi celle-ci repose essentiellement sur des paris, des croyances et des "promesses", à savoir des composantes humaines incertaines et non pas des échanges de biens objectifs qu'il serait possible de prévoir. Pierre-Noël Giraud, qui ne se cache pas de ne pas apprécier les auditeurs financiers, fustige donc ceux qui prétendraient savoir ce que l'avenir réserve aux marchés. Hors de son aspect polémique, ce livre, lauréat du Grand Prix du livre de management et de stratégie 2001 vulgarise très bien la finance ; c'est pourquoi il a été primé. L'impact du secteur de la finance est en effet de nos jours un aspect que les chefs d'entreprise et les cadres dirigeants ne peuvent négliger. Mais, souvent difficile à comprendre, cette dimension de l'économie nécessitait une mise au clair que l'auteur, très pédagogue, de cet ouvrage a réussi au mieux.Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1911 XI 2001 GIR Livre CREDIMI 301 XI - Droit bancaire et financier Disponible La finance mondialisée / François CHESNAIS
Titre : La finance mondialisée Titre original : Racines sociales et politiques, configuration, conséquences Type de document : texte imprimé Auteurs : François CHESNAIS, Auteur Editeur : La Découverte Année de publication : 2004 Importance : 268 pages Format : Broché ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7071-4274-0 Langues : Français (fre) Catégories : Droit bancaire et financier
Droit international économiqueMots-clés : finance mondialisation libéralisme économique capital de placement effets économiques instabilité monétaire internationale néolibéralisme états-unis fonds de pension fonds mutuels pouvoir actionnarial grandes entreprises fragilisée Europe capitaux Index. décimale : 000 - pas d'indexation décimale connue Résumé :
Par des chercheurs renommés, un bilan critique de la " finance mondialisée ".
Le néolibéralisme a déjà une histoire. Depuis les années 1980, les performances de l'économie mondiale ont dépendu de façon croissante de l'humeur et de la santé des " marchés " et des institutions ? fonds de pension, sociétés d'assurance, banques ? qui transforment l'épargne en capital pour le valoriser au moyen de placements et de prêts. Sous leur pression, les gouvernements ont libéralisé, déréglementé et privatisé. La " nouvelle économie " a paru un court moment rendre vaine la critique du néolibéralisme. Mais l'explosion de la bulle Internet, la chute des Bourses, la récession ou la stagnation des économies de l'OCDE, le tournant militaire et sécuritaire après les attentats du 11 septembre ont ouvert une nouvelle période. Le regard critique sur la finance proposé ici veut contribuer à l'analyse des racines du néolibéralisme comme du tournant de 2000-2001. L'architecture de la mondialisation financière et sa " gouvernance " par les États-Unis et le FMI assurent l'acheminement de revenus du monde entier vers les grands centres financiers. Les systèmes de retraites privés, pierre angulaire de la finance mondialisée, sont au cœur de mécanismes qui bloquent la croissance de l'économie mondiale et en accroissent fortement les inégalités, en même temps qu'ils font des salariés les otages des marchés financiers. Alors que la finance a provoqué, dans nombre de pays, des crises qui ont déchiré ou affaibli leur tissu social, les États-Unis ont fait de leur position dominante dans les institutions financières l'un des piliers de leur hégémonie. Force est de se poser la question des liens avec la remontée du militarisme et la priorité sécuritaire.
La finance mondialisée = Racines sociales et politiques, configuration, conséquences [texte imprimé] / François CHESNAIS, Auteur . - La Découverte, 2004 . - 268 pages ; Broché.
ISBN : 978-2-7071-4274-0
Langues : Français (fre)
Catégories : Droit bancaire et financier
Droit international économiqueMots-clés : finance mondialisation libéralisme économique capital de placement effets économiques instabilité monétaire internationale néolibéralisme états-unis fonds de pension fonds mutuels pouvoir actionnarial grandes entreprises fragilisée Europe capitaux Index. décimale : 000 - pas d'indexation décimale connue Résumé :
Par des chercheurs renommés, un bilan critique de la " finance mondialisée ".
Le néolibéralisme a déjà une histoire. Depuis les années 1980, les performances de l'économie mondiale ont dépendu de façon croissante de l'humeur et de la santé des " marchés " et des institutions ? fonds de pension, sociétés d'assurance, banques ? qui transforment l'épargne en capital pour le valoriser au moyen de placements et de prêts. Sous leur pression, les gouvernements ont libéralisé, déréglementé et privatisé. La " nouvelle économie " a paru un court moment rendre vaine la critique du néolibéralisme. Mais l'explosion de la bulle Internet, la chute des Bourses, la récession ou la stagnation des économies de l'OCDE, le tournant militaire et sécuritaire après les attentats du 11 septembre ont ouvert une nouvelle période. Le regard critique sur la finance proposé ici veut contribuer à l'analyse des racines du néolibéralisme comme du tournant de 2000-2001. L'architecture de la mondialisation financière et sa " gouvernance " par les États-Unis et le FMI assurent l'acheminement de revenus du monde entier vers les grands centres financiers. Les systèmes de retraites privés, pierre angulaire de la finance mondialisée, sont au cœur de mécanismes qui bloquent la croissance de l'économie mondiale et en accroissent fortement les inégalités, en même temps qu'ils font des salariés les otages des marchés financiers. Alors que la finance a provoqué, dans nombre de pays, des crises qui ont déchiré ou affaibli leur tissu social, les États-Unis ont fait de leur position dominante dans les institutions financières l'un des piliers de leur hégémonie. Force est de se poser la question des liens avec la remontée du militarisme et la priorité sécuritaire.
Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1917 XI 2004 CHE Livre CREDIMI 301 XI - Droit bancaire et financier Disponible 1953 XI 2004 CHE Livre CREDIMI 301 XI - Droit bancaire et financier Disponible