[n° ou bulletin] 

Titre :	2020-3-T34 - 2020/3 - EXEMPLAIRE A SUPPRIMER
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Isabelle MOINE-DUPUIS , Auteur
Importance :	126 pages
Langues :	Français (fre)
Catégories :	CREDIMI Périodiques
Résumé :	====> VARIA Page 253 à 295 Le pouvoir normatif des entreprises multinationales en droit international Ali Kairouani Page 297 à 318 La violence économique dans l’espace OHADA Yacouba-Sylla Koïta Page 319 à 342 L’ ajustement fiscal à la frontière, qualification et interactions avec le système commercial international Vincent Doix Page 343 à 359 Une perspective holistique sur la réglementation des chaînes d’approvisionnement mondiales Anna Beckers, Hans-W. Micklitz ====> Recension Page 361 à 367 Les limites du marché : La marchandisation de la nature et du corps – The Limits of the Market: Commodification of Nature and Body Isabelle Moine-Dupuis Où finit le marché ? Qu’est-ce qui peut encore échapper à son emprise ? Les sociétés et leurs opinions, les sciences sociales, leurs pensées et leurs règles, nationales et internationales, peuvent-elles efficacement poser des limites ? Le phénomène de marchandisation (commodification en anglais) serait-il illimité, et inéluctable ? Chacun se pose cette question : économistes, politistes, juristes, sociologues et anthropologues de tous pays s’en emparent. Ainsi fait cet excellent ouvrage collectif, réunissant des auteurs écrivant les uns en français, les autres en anglais, et qui se construit sur l’opposition entre leviers et freins à l’égard de la « marchandisation » dans les deux domaines annoncés par le sous-titre. Les systèmes de pensée – généralement cités qu’analysés en profondeur – semblent en effet se cristalliser autour de pôles opposés : d’un côté, les libertarians, qui, au nom d’une certaine conception de la liberté individuelle, ne voient pas de raison d’empêcher les individus de vendre leur sang, de louer leur utérus, voire de s’approprier telle ou telle réalité naturelle : l’article de Jean-Fabien Spitz montre qu’à l’intérieur de leur propre système de pensée, les auteurs relevant de ce courant ne disposent pas des arguments suffisants pour combattre l’accusation, qui leur est généralement adressée, de justifier l’esclavage volontaire ; de l’autre, les « contestataires » de la marchandisation. Ces derniers font suite à l’ouvrage de Margaret Radin (Les marchés contestés … Page 369 à 371 Le droit économique au XXIe siècle. Notions et enjeux Laurence Idot
En ligne :	https://www.cairn.info/revue-internationale-de-droit-economique-2020-3.htm

[n° ou bulletin]  2020-3-T34 - 2020/3 - EXEMPLAIRE A SUPPRIMER [texte imprimé] / Isabelle MOINE-DUPUIS , Auteur . - 126 pages.
Langues : Français (fre)

Catégories :	CREDIMI Périodiques
Résumé :	====> VARIA Page 253 à 295 Le pouvoir normatif des entreprises multinationales en droit international Ali Kairouani Page 297 à 318 La violence économique dans l’espace OHADA Yacouba-Sylla Koïta Page 319 à 342 L’ ajustement fiscal à la frontière, qualification et interactions avec le système commercial international Vincent Doix Page 343 à 359 Une perspective holistique sur la réglementation des chaînes d’approvisionnement mondiales Anna Beckers, Hans-W. Micklitz ====> Recension Page 361 à 367 Les limites du marché : La marchandisation de la nature et du corps – The Limits of the Market: Commodification of Nature and Body Isabelle Moine-Dupuis Où finit le marché ? Qu’est-ce qui peut encore échapper à son emprise ? Les sociétés et leurs opinions, les sciences sociales, leurs pensées et leurs règles, nationales et internationales, peuvent-elles efficacement poser des limites ? Le phénomène de marchandisation (commodification en anglais) serait-il illimité, et inéluctable ? Chacun se pose cette question : économistes, politistes, juristes, sociologues et anthropologues de tous pays s’en emparent. Ainsi fait cet excellent ouvrage collectif, réunissant des auteurs écrivant les uns en français, les autres en anglais, et qui se construit sur l’opposition entre leviers et freins à l’égard de la « marchandisation » dans les deux domaines annoncés par le sous-titre. Les systèmes de pensée – généralement cités qu’analysés en profondeur – semblent en effet se cristalliser autour de pôles opposés : d’un côté, les libertarians, qui, au nom d’une certaine conception de la liberté individuelle, ne voient pas de raison d’empêcher les individus de vendre leur sang, de louer leur utérus, voire de s’approprier telle ou telle réalité naturelle : l’article de Jean-Fabien Spitz montre qu’à l’intérieur de leur propre système de pensée, les auteurs relevant de ce courant ne disposent pas des arguments suffisants pour combattre l’accusation, qui leur est généralement adressée, de justifier l’esclavage volontaire ; de l’autre, les « contestataires » de la marchandisation. Ces derniers font suite à l’ouvrage de Margaret Radin (Les marchés contestés … Page 369 à 371 Le droit économique au XXIe siècle. Notions et enjeux Laurence Idot
En ligne :	https://www.cairn.info/revue-internationale-de-droit-economique-2020-3.htm