Bibliothèque CREDIMI
Détail de l'auteur
Auteur Paul R. KRUGMAN |
Documents disponibles écrits par cet auteur (1)
Affiner la recherche Interroger des sources externes
La mondialisation n'est pas coupable / Paul R. KRUGMAN
Titre : La mondialisation n'est pas coupable Titre original : Vertus et limites du libre échange Type de document : texte imprimé Auteurs : Paul R. KRUGMAN, Auteur Editeur : La Découverte Année de publication : 1998 Importance : 219 pages Format : Broché ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7071-2813-3 Langues : Français (fre) Catégories : Droit international économique Mots-clés : mondialisation vertus limites libre échange compétitivité commerce extérieur croissance tiers monde théorie économique monde émergent ALENA miracle asiatique technologie Index. décimale : 337 Économie internationale Résumé : On attribue souvent à la mondialisation des échanges une bonne partie des maux économiques et sociaux qui frappent nos sociétés. La concurrence entre pays développés est perçue comme une lutte sans merci où les moins dynamiques risquent d'être définitivement éliminés de la course. La désindustrialisation du Nord est attribuée à la concurrence irrésistible du Sud. Au nom de la " compétitivité " de l'économie nationale, on prône les recettes économiques les plus contradictoires, du protectionnisme à la dérégulation totale. Le livre de Paul R. Krugman balaye ces clichés trop répandus, à droite comme à gauche. Le commerce international n'est pas un jeu à somme nulle et les échanges bénéficient le plus souvent à tous les partenaires. Les nations ne sont pas des entreprises en concurrence sur le marché mondial et un excédent commercial peut être un signe de faiblesse, comme un déficit peut être un signe de force. La concurrence du tiers monde est sans effet sur le niveau moyen de l'emploi et des salaires. Les taux d'intérêt jouent un rôle beaucoup plus important, et le changement technologique, auquel l'auteur consacre un chapitre particulièrement original, est une des causes principales des évolutions qui nous préoccupent. L'économie mondiale est un système complexe de relations à effets rétroactifs, pas un enchaînement de causes mécaniques à sens unique. Convaincu qu'on peut parler simplement d'économie sans trahir cette complexité, Paul Krugman s'est donné comme défi d'accomplir pour les arcanes du libre échange ce que Stephen Jay Gould a réalisé pour les mystères de l'évolution. La vigueur et la limpidité de ses essais, ainsi que le succès qu'ils ont obtenu aux Etats-Unis, témoignent de la réussite de son ambition. La mondialisation n'est pas coupable = Vertus et limites du libre échange [texte imprimé] / Paul R. KRUGMAN, Auteur . - La Découverte, 1998 . - 219 pages ; Broché.
ISBN : 978-2-7071-2813-3
Langues : Français (fre)
Catégories : Droit international économique Mots-clés : mondialisation vertus limites libre échange compétitivité commerce extérieur croissance tiers monde théorie économique monde émergent ALENA miracle asiatique technologie Index. décimale : 337 Économie internationale Résumé : On attribue souvent à la mondialisation des échanges une bonne partie des maux économiques et sociaux qui frappent nos sociétés. La concurrence entre pays développés est perçue comme une lutte sans merci où les moins dynamiques risquent d'être définitivement éliminés de la course. La désindustrialisation du Nord est attribuée à la concurrence irrésistible du Sud. Au nom de la " compétitivité " de l'économie nationale, on prône les recettes économiques les plus contradictoires, du protectionnisme à la dérégulation totale. Le livre de Paul R. Krugman balaye ces clichés trop répandus, à droite comme à gauche. Le commerce international n'est pas un jeu à somme nulle et les échanges bénéficient le plus souvent à tous les partenaires. Les nations ne sont pas des entreprises en concurrence sur le marché mondial et un excédent commercial peut être un signe de faiblesse, comme un déficit peut être un signe de force. La concurrence du tiers monde est sans effet sur le niveau moyen de l'emploi et des salaires. Les taux d'intérêt jouent un rôle beaucoup plus important, et le changement technologique, auquel l'auteur consacre un chapitre particulièrement original, est une des causes principales des évolutions qui nous préoccupent. L'économie mondiale est un système complexe de relations à effets rétroactifs, pas un enchaînement de causes mécaniques à sens unique. Convaincu qu'on peut parler simplement d'économie sans trahir cette complexité, Paul Krugman s'est donné comme défi d'accomplir pour les arcanes du libre échange ce que Stephen Jay Gould a réalisé pour les mystères de l'évolution. La vigueur et la limpidité de ses essais, ainsi que le succès qu'ils ont obtenu aux Etats-Unis, témoignent de la réussite de son ambition. Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1796 VI 1998 KRU Livre CREDIMI 301 VI - Droit international économique (mondialisation, OMC, pays émergents Disponible